Publié dans Sport

Mondial 2026 - Eshan Kari, Rado et Warren Caddy forfaits face à Mali

Publié le vendredi, 10 octobre 2025

Dernière bataille à Bamako : victoire obligatoire pour les Barea.  Le dernier match des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 s’annonce décisif pour Madagascar. Les Barea affronteront le Mali ce dimanche 12 octobre au stade 26 Mars à Bamako. Coup d’envoi prévu ce dimanche à 19h (heure locale), soit à 22h à Madagascar, pour un duel où seule la victoire peut maintenir en vie le rêve mondialiste des hommes de Corentin Martins.

 

Trois cadres manqueront toutefois à l’appel à savoir Eshan Kari, Rado Niaina et Warren Caddy. Tous suspendus pour accumulation de cartons jaunes. Une absence de taille pour une équipe qui n’a plus le droit à l’erreur.

Un adversaire sans enjeu, mais pas sans orgueil

Le Mali, déjà éliminé de la course à la qualification directe comme à celle du meilleur deuxième, jouera pour l’honneur devant son public. Malgré cela, les Aigles promettent de ne rien lâcher face à des Barea toujours en quête d’un exploit à l’extérieur.

Avec 19 points au compteur, Madagascar conserve un mince espoir de qualification. Une victoire à Bamako pourrait permettre aux Malgaches de décrocher une place parmi les meilleurs deuxièmes, selon la décision que la FIFA doit rendre le 14 octobre.

L’instance mondiale envisage en effet de neutraliser les matchs disputés contre les derniers de chaque groupe, une mesure censée rétablir l’équité après le forfait de l’Erythrée dans le groupe E, qui a faussé le classement global.

Un dernier combat pour un rêve. Les calculs sont simples pour continuer à rêver du Mondial 2026, Madagascar doit impérativement s’imposer au stade du 26 Mars. Le sélectionneur des Barea et ses hommes le savent au-delà des statistiques et des décisions administratives, seule la victoire permettra aux Barea d’écrire une nouvelle page de leur histoire.

Tous les regards seront tournés vers Bamako, où Madagascar jouera sa dernière carte dans cette course haletante vers les barrages.

 

Elias Fanomezantsoa 

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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